la radiesthésie

Conseil

Quand vous révélez un diagnostic, méfiez-vous du « choc » donné au malade ; car, quand un malade vous dit : « Je suis fort, dites-moi toute la vérité, je m'attends à tout », dites-vous bien que ce malade, 99 fois sur 100, redoute votre pronostic et vous lui rendrez un très grand service en ne lui disant pas la vérité qu'il réclame.

D'ailleurs, sommes-nous absolument certains du diagnostic que nous posons ? Personne n'est infaillible. De deux maux, employons le moindre, car nous savons que beaucoup de malades ont peur d'être atteints de certaines maladies, et en ne leur disant pas la vérité, nous les aidons dans leur guérison; car nous relevons leur moral déjà atteint, et alors, étant mieux aguerri, le malade provoquera des réactions favorables à sa guérison.

Ne jamais faire de diagnostic à grande échéance (1) ; car c'est d'abord un pronostic facile, ensuite une pratique dangereuse pour le malade et son entourage, car reprenons les paroles du Dr Leprince : « Le roi, l'âne, ou moi, nous seront morts. »

Après ces méthodes qui, toutes, donnent des résultats indiscutables, j'ai réussi à construire un appareil « La Règle Discry » qui réunit les meilleurs moyens d'investigation. Sa construction et son emploi sont suffisamment développés dans mes ouvrages traitant, spécialement et d'une manière approfondie, sur la matière médicale. Ces ouvrages sont « Mes Méthodes ou la Radiesthésie au service de la médecine » et « Le Diagnostic Médical Radiesthésique » (2).

Il n'est donc plus question avec cette règle d'un travail mental, que je ne conseille d'ailleurs pas, mais d'une vraie recherche scientifique qui permet de nous rendre compte de la virulence du mal et des meilleurs remèdes à appliquer ; elle nous permet aussi d'enregistrer les progrès apportés sur l'état malade par les produits employés.

Je puis affirmer que tous ceux, médecins ou radiesthésistes, qui font usage de la règle obtiennent les plus belles réalisations. . Alors que la radiographie ne montre un état cancéreux, par exemple, que lorsqu'il est déjà avancé, la radiesthésie bien appliquée nous donnera des réactions alors que la maladie n'est encore qu'à sa naissance, donc au moment où une élimination est encore possible. La règle sera, par conséquent, à considérer comme un élément de valeur dans la radiesthésie médicale; elle sera utilisée avec les témoins remèdes dont question ci-après.

« Sachez qu'un mal bien défini, perd déjà de sa virulence et que le remède s'avance derrière le bon diagnostic. »

D'autres posent aussi le diagnostic par le remède, c'est aussi une excellente méthode, mais moins complète qu'avec la règle. Après avoir décelé le ou les organes malades, l'opérateur recherche, par syntonisation au pendule ou à la baguette, le remède ou une association de remèdes en parfaite harmonie avec le malade.

Ces remèdes sont des témoins allopathiques ou homéopathiques, suivant la thérapeutique adoptée.

Je me permettrai de mettre ici en évidence la valeur des produits homéopathiques « UNDA » dont les innombrables succès, s'échelonnant sur de nombreuses années, constituent la meilleure référence. Toute documentation utile peut être obtenue aux Laboratoires Unda, S. A., à Harzé et des documentations plus détaillées sont à la disposition de Messieurs les Médecins qui trouveront également à leur portée la relation de cas cliniques exposée par des confrères. Les formules homéopathiques Unda ont été avantageusement complétées par le Docteur Louis Reutter, ancien Privat Docent de l'Université de Genève, auteur de nombreux ouvrages sur la matière médicale. Pourquoi les radiesthésistes ont-ils employé les produits homéopathiques plutôt que d'autres uniquement parce que l'individualisation du remède est aussi indispensable que celle du malade.

L'examen à grande échéance consiste à indiquer que tel malade est atteint de telle maladie, par exemple un cancer... alors que rien cliniquement ne peut le prévoir..» Il faudra ou attendre l'évolution. Pendant ce temps, votre diagnostic restera suspect... et s'il devait être réel... il serait criminel d'attendre l'évolution. Si, d'autre part, l'on soigne préventivement d'après votre indication, et que le mal ne se déclare jamais, un doute restera... et vous serez encore suspecté.
L'ouvrage Mes Méthodes existe en langue néerlandaise

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