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Le Cercle Médiéval en police de caractère adaptée


la radiesthésie

Septième partie

II faut que la médecine étudie l'individu aussi bien que la maladie. Peut-être bien la méfiance que le public éprouve de plus en plus à son. égard, l'inefficacité et parfois le ridicule de la thérapeutique, sont-ils d'us à la confusion des symboles indispensables à l'édification des sciences médicales et dû patient concret... Les divisions anatomiques sont superficielles.

Le malade doit être non seulement étudié, mais avant tout soulagé, rassuré et guéri.

Le médecin doit découvrir dans chaque patient les caractères de son individualité, sa résistance propre à 'l'agent pathogène, le degré de sa sensibilité à la douleur, la valeur de toutes ses activités organiques, son passé et son avenir.
Avant épuisement des essais et démonstration péremptoires de sa non-utilité, ne rejetez donc pas la radiesthésie sérieuse.

Dr Alexis Carrel.

Radiations humaines

Diagnostic médical

Radiations humaines, diagnostic médical ? Quels sont ces intrus... qui osent s'occuper de la médecine alors qu'ils ne sont pas médecins ?... N'avons-nous pas, nous, médecins, à notre disposition, des moyens pour établir un diagnostic certain et une thérapeutique parfaite ? Je ne doute pas des grands progrès réalisés par la chirurgie. Tous les jours, les laboratoires trouvent des moyens nouveaux pour alléger les souffrances humaines. Les analyses d'urine, de sang et la radiographie, ont encore mis à la disposition des médecins des moyens précieux d'investigation... Sont-ils suffisants ? Non, mille fois non. Le diagnostic, dans certaines affections, n'est possible pour le médecin que quand il est trop tard. Le cancer, certaines maladies microbiennes, des affections du cerveau, médullaires et combien d'autres échappent à l'examen clinique faute de moyens.

La radiesthésie peut déterminer ces affections, alors que la médecine peut encore les guérir et individualiser chaque cas en trouvant le produit idéal à. ordonner au malade, à la dose unique, et cela sans « essais » répétés. A ces possibilités, un médecin nie répondait : « Le médecin qui essaierait d'en appliquer les principes pourrait peut-être se reprocher des morts humaines ! » Ne peut-il pas s'en reprocher sans appliquer nos principes ?... Et qui pourrait oser dire qu'un radiesthésiste a déjà tué quelqu'un par une indication thérapeutique? D'ailleurs, le radiesthésiste travaille-t-il seul ?

Je puis tirer comme conclusion de ce qui précède, que la médecine ne connaît pratiquement rien de l'action des forées physico-chimiques sur l'organisme vivant. Les médecins eux-mêmes, faute de culture générale, ne paraissent pas se douter de la révolution que subira l'art de guérir du fait de la connaissance et de l'utilisation rationnelle des forces physiques. C'est d'ailleurs dans un but de vulgarisation que j'ai écrit deux ouvrages sur la médecine radiesthésique, l'un La Radiesthésie au service de la Médecine et l'autre, complément du premier, Le Diagnostic médical radiesthésique mettant en relief la valeur et les possibilités de nos méthodes ; tandis que dans cet ouvrage je ne donne qu'un aperçu des grandes possibilités.

Avant d'énumérer les procédés employés actuellement couramment, je vais attirer l'attention de mes lecteurs sur ce qu'il leur est permis de faire, car il faut absolument empêcher, par tous les moyens, le charlatanisme qui jette le discrédit sur une science qui nous est particulièrement chère.

N'oubliez pas que la loi défend l'exercice de la médecine à toute personne non munie d'un diplôme, qui prend part habituellement ou d'une façon suivie au traitement des maladies, sauf les cas d'urgence reconnue.

Le rôle du radiesthésiste sera celui d'un physicien et non d'un thérapeute et jamais il n'ordonnera quoi que ce soit en médication.

La loi autorise le diagnostic ; elle ne défend que le traitement et il ne s'agit pas de vouloir ruser avec les textes, ceux-ci sont trop explicites que pour laisser le moindre doute.

Les médecins, en général, ont grand tort de vouloir empêcher le radiesthésiste de leur apporter son concours (1), car, dans bien des cas, il pourrait être leur auxiliaire précieux.

Pensez-vous que le but de la radiesthésie est de supplanter l'art médical ? Non ! Son but est d'apporter à la science médicale le concours que la radiologie lui a apporté, en l'aidant à découvrir au pendule ou à la baguette les radiations des malades que la pellicule ne peut fixer.

Car nous savons qu'un champ ulcéreux ou cancéreux sera détecte par le radiesthésiste bien avant qu'il ne soit possible de le voir par la radiologie ou le diagnostic médical ordinaire, alors qu'il est encore guérissable. Les expériences suivies faites en laboratoire confirment ces faits, et l'on est obligé de reconnaître la valeur de la méthode quand on voit travailler un radiesthésiste expérimenté, alors qu'il parvient, sans rien demander au malade, à déterminer les lésions aux organes, la cause des douleurs, et mieux, les fractures, cicatrices ou organes enlevés. Le doute doit-il encore exister ? Non.

Demandez à un médecin de faire cette expérience sans toucher au malade, sans rien lui demander !...

L'on vous dira : c'est de la, voyance, du magnétisme, de la transmission de pensée, etc. Mais je n'y crois pas parce qu'il n'y a rien de scientifique (2), hélas ! Actuellement, on commence seulement à établir des lois et je puis affirmer que, d'ici peu de temps, il ne sera plus possible de mettre en doute cette science.

II faut bien reconnaître que les résultats sont là, indiscutables, et que si certains médecins ne veulent pas admettre les faits, c'est parti pris ou ignorance volontaire !

Et comment peut-on encore douter devant tant de succès et de faits, en voyant à la tête des organismes de recherches, en France par exemple, Edouard Branly, Georges d'Arsonval, Lakhovsky, des médecins tel que Leprince, Reynauld, Roux, Claoué, Foveaux de Courmelles, Alexis Carrel, Dupont, Antoine, Treyve, etc. ; en Belgique, des professeurs d'université, des ingénieurs, des médecins tels Bigot, Mureau, De Nayre, etc., des opérateurs de grande valeur tels les Pères Desbuquoit et Gillain, les radiesthésistes Schraepen, Le Coq d'Armanville, Rixhon, Bonhomme, Crutzen, J. Braem, Th. Braem, Peltier, Delporte, pour ne citer que ceux-là.

Beaucoup de médecins reconnaissent les bienfaits de la radiesthésie qui ne soigne que les malades « laissés pour compte ». Mais ils ont peur du « qu'en dira-t-on » ? Et combien de médecins jouent avec le pendule dans le dos du malade pour obtenir confirmation de leur diagnostic et, en face du public ou de confrères, se montrent adversaires acharnés de la radiesthésie.

Mon livre est une étude et non un recueil de polémiques que l'on retrouve quotidiennement dans les journaux ou revues, partisans et adversaires, je m'en tiendrai donc là.

En Allemagne, le dernier Congrès de radiesthésie avait réuni près de 125 médecins les plus réputés d'Allemagne ; le même mouvement se produit dans tous les pays.

En Belgique, le mouvement est parti doucement, mais nous pouvons en être fiers, car c'est à notre petit pays, si travailleur, si tenace, que revient l'honneur d'avoir, lors du Congrès international de Radiesthésie tenu en la Salle académique de l'Université à l'occasion de l'Exposition de l'Eau de Liège 1939, de voir désigner Liège comme « Centre international d'étude scientifique de la radiesthésie » dont font partie tous les pays du monde (3).

N'était-ce pas, aux yeux du monde scientifique, faire honneur à notre pays pour ses travaux nombreux et appréciés à l'étranger ? « Un saint n'est jamais adoré dans son pays » et cependant, depuis le Congrès, une première chaire de radiesthésie fut ouverte à l'Université d'Antioqua, en Colombie, par le Dr Urubé d'Escobar. Dans quelques années, nos méthodes reviendront sous l'étiquette U. S. A. et nos universités les accueilleront comme le messie... Ne voyons-nous pas en U. S. A l'hypnotisme jouissant d'une chaire à la Faculté ?

Les radiations

Mais comment captons-nous les radiations malades ?

Quand on passe le pendule ou la baguette devant une personne malade, le pendule girera chaque fois dans le sens opposé à la polarité du sujet et toujours sur un point malade.

Supposons une personne que nous examinons. Nous promenons notre pendule sur deux ou trois organes ; nous nous apercevons que le pendule oscille ; nous regardons encore un autre organe ; le pendule se met à girer. A ce moment, nous constatons que chaque fois que le pendule gire, nous nous trouvons en présence d'une partie malade ; et chaque fois que le pendule oscille, nous sommes sur une partie saine.

Vous ne devez pas a priori établir une règle absolue au point de vue polarité, car celle-ci pourrait vous induire en erreur. Vous devrez donc, suivant chaque sujet à ausculter, rechercher sa propre polarité, et surtout sa polarité saine, non malade. Ceci sera donc le point de départ de ma méthode de diagnostic.

  1. La Fédération des Médecins a trouvé judicieux de défendre « aux médecins de prêter leur concours aux radiesthésistes ». Sans commentaires... Voilà comment la science veut expérimenter des méthodes nouvelles... et l'on s'étonnera du charlatanisme. A qui la faute ?
  2. La médecine n'est pas une science... C'est un art... pratiqué suivant certaines directives et permettant & certains psychologues d'être des médecins fameux.
    Comment expliquer que le sourcier découvre les nappes souterraines. Y a-t-il voyance, suggestion ? Les résultats sont indiscutables
  3. Rapport du Congrès, en vente chez le Président G. Discry à Houssonloge par Harzé.

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