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la radiesthésie

Le cancer et les ondes nocives.

Ce mot terrible sonne mal à l'oreille et la maladie nous fait d'autant plus peur que, jusqu'à ce jour, la science officielle n'arrive pas à la détecter à l'état latent. Je ne ferai à son sujet aucune étude spéciale, ni polémique proprement dite, car j'estime que les faits finiront par avoir raison. Je ne puis cependant passer sous silence le parti pris de certaines associations ayant pour but la recherche et le dépistage du cancer, dont les fonds doivent servir à rechercher les moyens. Ces associations ne jettent pas même leurs regards vers la radiesthésie qui leur offre cependant des possibilités.

Pourquoi cette antipathie pour une science nouvelle qui permettrait, rien que déjà par le dépistage, de sauver quantité de vies humaines ? Pourquoi ne pas vouloir effectuer les expériences pourtant concluantes obtenues au sujet des ondes nocives ? La cause réside sans doute dans le fait que ces recherches sont l'œuvre de non médecins en général et que la science médicale ne permettrait pas de voir trouver la cause du cancer par des non médecins.

Rappelons-nous Pasteur et d'ailleurs nous pouvons reprendre l'incident qui s'est produit à l'Académie française de médecine : « L'ingénieur Cody faisait don de ses travaux d'études sur le cancer et un des membres de cette assemblée prononça cette exclusion sacramentelle : M. Cody est ingénieur, il n'a pas le droit de prononcer le mot cancer et, par conséquent, n'a pas de droit d'en découvrir ni la cause, ni le moyen de guérir, ni la prévention. »

On a supposé que le cancer était de nature microbienne, puis parasitaire, que l'humidité du sol en favorisait l'éclosion, qu'il était dû à la présence d'un, virus filtrant dans l'organisme, etc., mais toutes ces hypothèses ont été démenties par les faits. Suivant le docteur Albert Roux, le cancer serait la résultante d'un déséquilibre humoral et cellulaire consécutif à des troubles importants du métabolisme général, agissant dans un terrain prédisposé. Le cancer, dit-il, est une anarchie cellulaire qui prend naissance sur un terrain approprié, un terrain physiologiquement détraqué, un terrain où le métabolisme est détruit.

Dans son ouvrage La lutte contre les microbes, le docteur Burnet de l'Institut Pasteur, a résumé la question en déclarant : « Les tissus qui composent nos organes sont des assemblages de cellules. Les cellules qui forment un tissu sont de même espèce et chaque organe est composé de tissu défini et constant. En regardant cette structure, un profane dira : « Comme tout cela est en ordre. L'ordre est une loi de la vie. »

Un jour, pour une cause inconnue, le désordre s'introduira dans ces microsomes, une cellule, un groupe de cellules, se met à proliférer d'une façon insolite, l'amas qu'elles forment refoule autour de soi le tissu sain. Quand cet amas est devenu perceptible au toucher et à la vue, on peut alors sans risque de se tromper diagnostiquer une tumeur. Mais depuis quand est-elle née dans le secret de l'organe. On l'ignore et si la structure est examinée au moyen du microscope, les éléments des tissus sains sont encore reconnaissables, plus ou moins, mais on dirait que l'anarchie s'est mise dans cette société. Ces cellules se sont déformées et elles ont pris un aspect uniforme qui est celui de la cellule cancéreuse, voilà une tumeur.

Un autre docteur, Dumoret, écrivait encore : « Le cancer est une maladie constitutionnelle et non locale ; de là les récidives. Par quels signes décèle-t-elle sa présence ? Sorte de procès pathologique, se manifestant par les débuts les plus variés, c'est ce que l'on pourrait appeler la maladie inapparente, imprécise, insoupçonnée, intraductible, sorte de taupe qui se gite et qu'il y a lien de dépister. »

Quoi qu'il en soit, mes connaissances médicales ne me permettent pas d'émettre ou de discuter des hypothèses, mais tout le monde scientifique est d'accord à reconnaître qu'il existe au moins deux périodes dans l'évolution du cancer : la période latente, préclinique, pré-tumorale où la destruction du métabolisme général s'établit lentement pour aboutir à la deuxième période clinique ou tumorale, où les signes objectifs et subjectifs de déchéance progressive s'accompagnent en un point quelconque de l'organisme, d'une tumeur ou d'une destruction des tissus cliniquement appréciable (rayons X, etc.) ou visible directement ou perceptible an palper (grosseur, tumeur).

A ce moment, se produit l'invasion ganglionnaire qui explique les métastases et nous donne également la raison de l'insuccès habituel de tout traitement habituel local, chirurgical ou radiologique. Il s'avère cependant indiscutable que si l'on parvient à dépister le cancer à la période pré-tumorale, préclinique, il y aura beaucoup de chances de le vaincre définitivement. La radiesthésie est à même de prouver que ses moyens d'investigations permettent de déceler un cancer à l'état latent, qu'il existe des moyens préventifs et, qu'ainsi, les ravages du cancer peuvent êtres fortement atténués.

Au cours de mes nombreuses recherches, j'ai pu me rendre compte qu'un pourcentage très élevé des cas de cancers étaient dus à la situation des maisons, des lits (au-dessus des radiations souterraines), que les personnes âgées de 50 à 60 ans y étaient plus prédisposées, bien qu'à tout âge cette maladie terrible puisse apparaître. Les hypotendus, d'autre part, sont plus sujets aux atteintes de ces radiations. Chaque fois que j'ai été mis en présence d'un cancéreux, j'ai eu la certitude, après enquête, que ce malheureux avait séjourné longuement sur une radiation du sous-sol, et j'ai même pu constater que, non seulement cette personne en avait été la victime, mais bien d'autres qui n'avaient avec elle aucun lien de parenté.

Lorsqu'il y a deux formations géologiques du sol différentes en contact, par exemple de l'argile et un autre sédiment comme le crétacé, ces substances s'ionisent différemment et créent, à certaines profondeurs, des décharges électriques formidables, d'où formation d'un rayon qui s'échappe par la fente entre ces deux substances, c'est-à-dire la faille. Celle-ci dégage un rayon vertical pouvant atteindre des hauteurs très grandes, voire plus de quinze cents mètres» Que se passe-t-il si ce rayon, formant une bande, passe au travers de votre maison de bas en haut et rencontre l'endroit où se trouve votre bureau, votre fauteuil, ou, pire encore, votre lit, et que ce rayon rencontre un organe, tel l'estomac, par exemple ? Les cellules de cet estomac se mettront à osciller à une fréquence autre que celle de toute autre partie du corps, d'où il résulte que la matérialisation de tous les minéraux qui doit se faire dans l'estomac, s'effectue sous un autre régime et il s'ensuit, d'après Lakowsky, que la résonance avec les autres cellules de l'organisme se trouve annihilée, d'où la rupture de l'harmonie entre les vibrations chondrionnes, petits filaments et chromosomes, gros filaments du noyau, d'où la formation des cellules néoplasiques, c'est-à-dire qui provoquent cette terrible maladie du cancer. Ce rayon peut atteindre toute partie de notre organisme et j'ai constaté que certains terrains prédisposaient à la formation du cancer, tels anciennes fosses d'aisance, anciens cimetières, galeries d'anciens charbonnages, terrains marécageux, etc. De nombreux médecins, tant en France qu'en Allemagne, Angleterre et d'autres pays encore, ont confirmé cette théorie des failles.

Le cancer s'installera surtout sur un organe prédisposé, affaibli par suite d'une opération, d'un traumatisme ou d'une déficience glandulaire. Il s'attaque aussi volontiers aux personnes atteintes de maladies héréditaires : tuberculose, syphilis, etc.

Il est indéniable qu'il existe des maisons dites « à cancer ». Ce fait n'est malheureusement que trop vrai et des centaines de preuves confirment les premières hypothèses. On est parvenu à reproduire le rayon qui donne naissance au cancer et à inoculer, rien que par ce rayon, le cancer à des souris et cobayes.

Il est donc tout à .fait normal que si l'on parvient à créer une radiation qui désharmonies les cellules des animaux au point de provoquer le cancer, on peut aussi arrêter l'effet de ces rayons au moyen de divers procédés et, par conséquent, les empêcher d'atteindre notre organisme pour y créer la tumeur. Combien de malheureux cancéreux n'a-t-on pas empêchés de souffrir alors que la seule ressource était la piqûre répétée une dizaine de fois par jour et dont l'effet s'avérait de jour en jour plus inopérant. Les souffrances du malade disparaissaient avec le seul secours de l'écran de plomb placé sous le lit et protégeant ainsi l'organe malade. Cet écran a été décrit dans une précédente chronique. Evidemment, cette méthode, quoique très efficace, est incomplète, car, après un délai de huit jours, elle peut créer une radiation plus puissante, condensée et amplifiée qu'elle laisse s'échapper par les bords.

Le meilleur protecteur consiste en une cage de Faraday construite avec différents métaux qui, par leur nature, leur conductibilité, attireront à eux ces radiations, les capteront, puis les filtreront afin de ne pas incommoder les voisins. Cette cage consiste en un fil continu, sans boucles, ni torsades, placé contre les murs et relié à la terre. Ce fil sera dénudé et les extrémités seront soudées ou retenues dans une petite gaine d'ébonite. Ce procédé est donc celui employé le plus couramment et il ne peut encore agir dans tous les cas ; il suffit à pallier au plus pressé. Il y a lieu d'étudier, suivant chaque cas, lès métaux qui interviendront dans la confection de cette cage, qui, non seulement doit agir comme protecteur, mais également comme émetteur d'ondes bienfaisantes ou néfastes suivant la composition des métaux.

En supposant que nous ayons détecté une faille d'une longueur de 0,68 m, de polarité négative et susceptible de provoquer des rhumatismes aux personnes séjournant au-dessus. Nous devrons rechercher les métaux syntonisants et de polarité contraire pour établir un champ d'arrêt et, par conséquent, de captation de ces ondes. Il sera fait usage dans ce cas de fils de cuivre et d'or, tandis que l'on placera au-dessus de la première cage une seconde composée d'un fil de zinc. La première cage aura pour effet d'annihiler les radiations du sous-sol ; la seconde de créer un champ réharmonisateur qui sera capté par l'organisme. La première cage sera reliée au sol ou miens: à un filtre, car, en la reliant au sol, l'on risque de dévier ces radiations, tandis qu'en filtrant ces radiations, elles seront définitivement annihilées.

Le filtre sera calculé suivant la longueur détectée et se composera d'une spire. La longueur d'onde du cancer étant de 51 cm, la spire aura le double soit 102 cm. La nature du fil de la spire sera identique à celle de la cage. Pour le cancer, les fils à employer sont l'aluminium, le cuivre et l'étain. Spires et cages seront attachés ensemble par soudure, ou mieux encore, par continuation directe du fil tourné en spire. Ne pas perdre de vue également que pour une onde positive, la spire doit être négative et vice versa et que les ondes positives sont beaucoup plus néfastes que les négatives, surtout dans le cancer.

Il ne s'agit pas de travailler à la légère, sinon le danger serait plus grand que s'il n'existait aucun moyen de protection.

Une maison à cancer ayant été décelée, l'expérience suivante fut effectuée. Des souris blanches furent enfermées dans une caisse, elle-même placée à califourchon sur le bord de la radiation constatée. Jamais aucune souris ne voulait rester sur la partie exposée aux radiations malgré la nourriture qu'on y plaçait pour les y attirer. Si l'on tournait brusquement la caisse sur elle-même, les souris changeaient immédiatement de place pour se trouver hors de leurs atteintes. Il suffit d'ailleurs de placer des jeunes chats sur une radiation nocive pour que la mère aille les chercher et les transporter hors de l'effet du rayon.

Si l'on maintient de face une dizaine de souris sur une radiation reconnue cancéreuse, après quatre ou cinq mois plusieurs auront péri et pour toutes l’autopsie révélera un cancer.

Un malade cancéreux, dont les radiations ont été supprimées, non seulement ne souffre plus, mais il se trouve dans un état permettant aux médicaments qui ont une résonance par faite d'agir et de provoquer la résonance cellulaire indispensable à la guérison. Tant que la radiation nocive ne sera pas supprimée, il sera impossible d'obtenir la moindre amélioration.

La radiesthésie a opéré sur de nombreux cas de cancéreux abandonnés à qui le pronostic donnait encore quelques malheureux jours de vie et qui, de plus, souffraient atrocement. Certains radiesthésistes n'ont pas hésité à tout tenter malgré la quasi certitude d'aller à un échec puisqu'il était trop tard. On obtenait cependant la suppression des douleurs et souvent aussi une amélioration sérieuse puisque, dans certains cas, l'échéance a été retardée de plus de deux ans et l'amélioration a même permis au malade de reprendre ses occupations.

On doit donc se demander pourquoi la science ne veut pas contrôler les méthodes radiesthésiques, puisque, par les méthodes officielles, on ne peut détecter le cancer quand il est encore guérissable. On peut conclure que la radiesthésie est à même, par son examen, de déceler, sur le malade ou sur son témoin, un état précancéreux et cancéreux avant qu'il soit décelable cliniquement. Elle peut le prévenir en supprimant les radiations qui le créent, et en syntonisant la réharmonie cellulaire capable de produire la guérison ou l'amélioration.

Le docteur Durand de Courville avait conclu au cours de recherches très poussées que :
1° La détermination des zones à cancer dans une région semble conditionnée par l'étude du régime hydraulique du sol et du sous-sol immédiat ;
2° En règle générale, toutes choses égales d'ailleurs, tout ce qui favorise dans une région l'écoulement des eaux de surface ou du sous-sol immédiat diminue la fréquence du cancer ;
3* Tout ce qui provoque le ralentissement ou la stagnation des eaux de surface ou du sous-sol immédiat augmente la fréquence du cancer.

Je m'explique : il existe des aires à cancer, des agglomérations cancérisées et des agglomérations épargnées. Certaines régions paraissent plus affectées et les cas de cancer, spécialement du tube digestif, sont parfois groupés sur des espaces très limités. Ces localités ont donc le triste privilège d'être la proie de ce mal" terrible. Tout se passe dans ces agglomérations comme si une cause permanente de cancérisation persistait. Dans d'autres agglomérations, on est resté plus de vingt ans sans connaître un cas cancéreux; dans d'autres encore, on n'en a jamais connu.

Le docteur R..., de M..., dans le Jura, constate : « Dans un immeuble du village de X..., au rez-de-chaussée, sont morts dans la même maison ou après y avoir séjourné successivement Mme C..., née dans un village voisin, venue habiter X... après son mariage, au bout de vingt-cinq ans y meurt d'un cancer à l'estomac à l'âge de 47 ans. Son mari, né dans cette maison et y ayant toujours habité, meurt d'un cancer à la langue. Mme C..., sœur du précédent, ayant habité cette maison jusqu'à l'âge de son mariage (vingt-cinq ans) meurt également d'un cancer à la langue malgré opération. Les deux successeurs de la maison et qu'ils l'ont habitée respectivement pendant 8 et 5 ans meurent également de cancer.

Le docteur A..., de N..., constate dans une maison cinq cas de cancer, dans une autre, quatre cas. Dans une troisième habitation, une personne meurt d'un cancer des fosses nasales. Les habitants qui lui succédèrent, père et fille, meurent à quelques mois d'intervalle et tous deux d'un cancer.

Le docteur Coste de Saint-C..., avant d'exercer à Saint-C..., exerçait à R... (altitude 280 m). Dans cette dernière localité, aucun cancer ne fut constaté en quatre ans. Ce village est éloigné de toute rivière et les ruisseaux y sont peu nombreux. A Saint-C..., il en est tout autrement, les ruisseaux sont nombreux, la rivière est à proximité, il existe des sources abondantes très calcaires. La rivière déborde en crue et surtout sur la rive droite, rive où tous les cas de cancer se rencontrent.

Le docteur Lagarde constate : maison construite par M. A... qui y meurt d'un cancer. La maison est ensuite habitée par une autre famille de 1908 à 1910. M. B... meurt d'un cancer du larynx, sa veuve, qui l'avait soigné, meurt d'un cancer à l'utérus. En 1932, la maison est occupée par le Consul de F..., M. C... et sa dame succombe à un cancer du foie. Le nouveau Consul qui reprit le bail succombe d'un cancer à l'estomac et sa veuve meurt, toujours dans la même maison, d'un cancer au sein après opération.

Le docteur Labat, de S..., cite un cas de huit personnes de la même famille, mortes dans, la même maison, toutes du cancer, dont sept à L'estomac et une à l'ovaire.

Le docteur Ch..., de O..., cite : une femme meurt d'un cancer utérin et presque en même temps son époux meurt d'un cancer du pancréas. La sœur de cette femme et son mari succombent à leur tour d'un fibrome dégénéré en cancer et d'un cancer au rein. Le drame se passe en trois ans. D'aucun côté, il n'y avait hérédité, mais, fait troublant, ces quatre malades passaient ensemble et chaque année trois mois de vacances dans une maison de campagne. Dans cette maison de campagne, une chatte, atteinte d'un cancer ulcéré de la mamelle, avait dû être abattue.

Le docteur D..., de A..., signale : la domestique d'un curé de campagne meurt d'un cancer utérin, la remplaçante est atteinte quelques mois après d'un cancer à l'estomac. Le curé, à son tour, succombe d'un cancer au rectum.

Le docteur F..., en B... : dans une ferme le docteur a eu à opérer d'un cancer au sein, en 1909, une femme ; en 1914, sa sœur et en 1921 la femme du nouveau propriétaire.

Le docteur C..., de Saint-P..., déclare que dans la même maison et la même famille huit cas de cancer ont été mortels :

1894mort du père d'un cancer à l'estomac à l'âge de 56 ans
1898du fils38 ans
1917d'une fille65 an
1918d'une fille55 ans
1920d'un fils56 ans
1928d'une fille67 ans
1929d'une fille56 ans
1931de la femme d'un fils (cancer à l'ovaire) à l'âge de56 ans

J'ai laissé ici la parole aux médecins qui ont observé ces cas. On pourrait en faire un volume de plusieurs centaines de pages. Devant autant de faits, pourrait-on encore objecter une coïncidence ?

Non, et ces faits ne peuvent que raffermir nos convictions concernant les phénomènes de maisons ou régions à cancer. En chercheurs, il est indispensable de trouver le moyen d'enrayer l'effet de ces effluves du sous-sol tant préjudiciables à notre pauvre santé. L'avenir nous apportera peut-être l'appareil sensible capable d'indiquer immédiatement la présence d'un effet nuisible, qui serait automatiquement détruit. Ce procédé pourrait certes diminuer, dans une proportion sérieuse, le nombre d'affections et principalement le cancer. Il existe de magnifiques travaux sur cet objet et dont la valeur est indiscutable : ceux de l'Ingénieur Cody, ainsi que ceux du R. P. Desbuquoit : Les veines qui tuent et Où tombe la fondre ?

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